Dans le cadre de DañsFabrik, festival de Brest
Olivier de Sagazan, peintre, sculpteur et performer, ré-interroge la question de nos comportements : quelle place avons-nous dans notre corps ? Pourquoi « ça » respire, « ça » mange, « ça » copule, pourquoi sommes-nous sans cesse dans une fuite en avant qui semble comme une condition de notre survie ? Qui du corps ou de celui qui parle dans le corps est le vrai marionnettiste ?
Autant de questions posées sur la scène qui se transforme en une sorte d’atelier de Frankenstein et sur laquelle cinq danseurs, englués dans l’argile, tentent d’exprimer leurs doutes et leurs rêves.